Les routes et trafics illégaux

Un trafic peut connu

La Malaysia subit de nombreuses répressions sociales, économique et diplomatiques faces aux problèmes de traites humaines, auxquels le pays fait face. Selon la scène internationale, la traite des personnes est définie comme :

  • Une « action » qui comprend un recrutement, acheminement, transport, transfert, et hébergement.
  • Un « moyen » qui utilise la force et la contrainte, ou toute autre pression, pour avoir le consentement d’une personne.
  • Un « objet » des moyens, entre autre, l’exploitation.

Depuis 2007, la Malaysia reconnait ses principes, et pour le pays, l’exploitation peut être sexuelle, du travail ou services forcés, l’esclavage ou des pratiques apparentes… Mais il est rarement fait allusion à l’exploitation du travailleur locale.

Car cet individu est menacé de licenciement ou de report de promotion dans le but d’augmenter le bénéfice qu’il peut produire dans une société ou industrie. Et les responsables des syndicats derrières eux subissent aussi cette forme de pression. Ils peuvent subir des actions disciplinaires ou un licenciement s’ils se rendent à des manifestations, publient des faits dans les médias…

De plus, en Malaysia, la durée de période d’essais n’est pas fixée par la loi, et peut donc durer des années, donnant plus de pouvoir aux chefs d’entreprises et supérieurs, les modalités de renvoi étant plus simples, et les droits des salariés inférieurs durant cette période.

Travailleur migrant dans le dortoir d’une usine

Les travailleurs migrants sont aussi victimes de cette traite humaine dans un domaine professionnel. Ils se voient confisqué leur passeport et permis de travail, afin qu’ils ne puissent pas fuir la société.

Les routes de trafic

L’histoire a un rôle important dans l’existence de trafics illicites et parallèles. Surtout lorsque l’on prend l’exemple de la Chine grande consommatrice d’opium dans la première moitié du XXème siècle. Après que le produit est éradique des marchés chinois, ce sont les habitants d’Asie du Sud Est qui en ont repris les bénéfices. Entre autres les habitants des montagnes, qui acheminaient les produits aux travers des frontières. A présent, les routes acheminant les drogues existent toujours, mais d’autres trafics existent. On passe par les objets d’art, la contrefaçon de vêtements et médicaments.

Face au trafic de drogue, qui est le plus important dans le pays, la loi est ferme. La peine de mort est applicable, tout comme à Singapour et en Indonésie.